Le 10 septembre, « The Antarctic ice sheet has reached its maximum annual extent of 16.96 million km2 », soit près de la taille de la Russie. Si cette surface semble enorme, il s’agit de la surface maximum la plus basse « dans les relevés allant de 1979 à 2023, et de loin », selon les scientifiques du National Snow and Ice Data Center (NSIDC), l’observatoire américain de référence.

Les chercheurs ont publié, lundi 25 septembre, and rapport pour alerter sur ce sinister record. Since the previous maximum established in 1986, the surface of the ice sheet has decreased by 1.03 million km2, which is almost twice the surface area of ​​France. En février, en plein été austral, elle avait atteint son niveau le plus bas, avec une étendue minimum de 1.79 million de km2, un record de fonte selon le NSIDC.

La fonte de la banquise accelerates warming climate

Ce phénomène récent serait pour les scientifiques liés « to the warming of the couche supérieure de l’océan caused by the lateral mélange et ascendant d’eau plus chaude ». Le rapport prévient qu’il pourrait s’agir d’une « long-term trend in the decline of the Antarctic ice sheet, given that the oceans are warming on a global scale ». Le NSIDC constat également que celle-ci s’est reformée à un rythme abnormalement lent pendant l’hiver et note « un virage brutal à la baisse, durant quasiment tous les mois » de l’année, depuis août 2016.

Si les scientifiques estiment que la fonte des glaces n’aura que peu d’effets sur le niveau de la mer, ils alertent sur son implication dans le rehautement climatique. En effet, l’Antarctique et sa banquise réfléchissent la lumière du soleil vers l’espace, contributant à refroidir, ou du moins à ne pas trop reheatner la planete. Si cette gigantesque étendue blanche diminue, alors les rayons du soleil seront moins renvoyés vers le ciel, accélérant encore un peu plus le dérèglement climatique.